Bockel catholique blairiste
Nommé secrétaire d’Etat chargé de la Coopération et de la Francophonie, Jean-Marie Bockel, 57 ans,
Nommé secrétaire d’Etat chargé de la Coopération et de la Francophonie, Jean-Marie Bockel, 57 ans,
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La conséquence inévitable d’une telle décision, selon le cardinal, sera la suspension du soutien financier à Amnesty International
Les lobbies pro-avortement – soutient le cardinal dans l’interview au National Catholic Register – continuent leur propagande, qui se place dans le cadre de ce que le serviteur de Dieu Jean-Paul II appelait la « culture de mort » ; et il est extrêmement grave qu’une organisation méritante comme Amnesty International se plie maintenant aux pressions de tels lobbies.
Cela doit intensifier l’engagement non seulement des catholiques, mais aussi de toute personne de bonne volonté, selon le cardinal Martino, pour la défense
Plusieurs appels ont été récemment lancés pour attirer l’attention de l’opinion sur les menaces qui pèsent sur de nombreuses églises de France, avec
Mgr Raymond Centène, évêque de Vannes, à l'occasion
Très ouvert, le gouvernement Fillon contient aussi plusieurs catholiques en dehors
Il faut adhérer à Quelqu'un, écouter sa voix, Le suivre, recevoir de Lui la vie éternelle. Et c'est là que tout bascule !
Devant Jésus tout doit se déterminer !
Devant Jésus tous doivent se positionner !
Devant Jésus, chacun doit choisir !
On peut suivre le Christ ou lui jeter des pierres. Il faut choisir !
L'évangélisation, la pastorale doivent conduire à ce choix."
Source : http://catholique-vannes.cef.fr
Extraits d'un communiqué du collectif Catholiques en Campagne:
Monsieur Sarkozy a été élu, nous en prenons acte. Qu’il sache que les catholiques, en nombre toujours plus grand, passeront son action au crible de la doctrine sociale de l’Église et qu’ils ne manqueront pas de faire entendre leurs voix et de se mobiliser pour faire barrage à tout ce qui porterait atteinte aux valeurs chrétiennes fondatrices de l’identité de la France.
Le temps n’est plus où les catholiques ne se manifestaient pas en politique. Ces élections l’ont montré et elles feront date en cela : un nombre important de catholiques ont pris conscience du fait que les affaires de la cité doivent être conduites en conformité avec l’enseignement de l’Église. Il nous appartient de faire en sorte que cet élan ne faiblisse pas, mais qu’au contraire les catholiques deviennent des acteurs incontournables de la scène politique française.
SELON UN SONDAGE REALISE A LA SORTIE DES URNES lors du premier tour des présidentielles (cf. La Croix, 24/4), le vote des catholiques « pratiquants réguliers » (allant à la messe au moins une fois par mois) s’est porté massivement sur Nicolas Sarkozy, avec 45%, suivi par François Bayrou (20%), Ségolène Royal (11%), Jean-Marie Le Pen (8%), Philippe de Villiers (7%), Arlette Laguiller (4%), Marie-George Buffet (3%) et Olivier Besancenot (2%). Les précédents sondages avaient annoncé le glissement à droite du « vote catho ».