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Défendons le dimanche

Publié le par Denis Sureau

La Cftc lance cette pétition pour défendre le repos dominical:

Les signataires, de la présente pétition, estiment que le repos dominical, audelà du temps de repos, juste et nécessaire, est un élément fondamental de la vie familiale, sportive, culturelle, associative, voire spirituelle. Il permet également de préserver les marchés traditionnels et le commerce de proximité qui seront écrasés par l'ouverture des grandes surfaces le dimanche.

C'est cet équilibre que nous voulons maintenir.
Celui de la France des bénévoles, des balades en forêts, des rires en famille, des parties de rugby entre copains, de la diversité des couleurs et des senteurs sur les marchés, du verre de blanc sur le comptoir, des premiers émois au cinéma, des chorales lyriques ou jazzy.
Face à l'hexagone des tenants d'un monde transformé en une immense galerie marchande aseptisée, où la culture est en tête de gondole, la nourriture en fast-food, la pensée code barrée, le salarié aux horaires décalés, la caissière sous-payée, la famille explosée.

C'est sur une certaine idée de la France au travail
que nous nous prononçons !

Vous pouvez signer la pétion en ligne sur : www.cftc-paris.com

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Halde là !

Publié le par Denis Sureau

Il s‘appelle Basile. Karine, sa maman, l’a obtenu par insémination artificielle en Belgique, il y a trois ans. Elle est homosexuelle et vit avec Elodie. Cette dernière revendique d’être considérée comme le père du garçon : elle a demandé à sa caisse d’assurance maladie de bénéficier du droit au congé de paternité. Requête refusée. Puis le tribunal des affaires de sécurité sociale de Nantes a rejeté son recours en précisant que le terme de paternité concernait « le père en tant que personne sexuée masculin avec un lien de filiation avec l'enfant ». L’affaire sera jugée en appel à Rennes le 5 décembre. Mais entre temps, le président de la Halde est venu à leur secours en demandant au Premier ministre de « substituer à la notion de congé paternité fondée sur le lien de filiation un congé d'accueil du jeune enfant », congé ouvert au partenaire de tout sexe.

Créée en 2005 par Jacques Chirac, la Halde est la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité. Elle est dirigée par Louis Schweitzer, ex pdg de Renault et ancien directeur du cabinet de Fabius, et composée de membres tels que - parmi les recrues les plus récentes - Sihem Abchi, nouvelle présidente de l'association « Ni putes ni soumises » (la précédente étant au Gouvernement) et de Marie-France Picart, ancienne Grande Maîtresse de la Grande Loge Féminine de France. M. Schweitzer a une haute idée de sa mission. Ainsi, en mars dernier, un journaliste de Valeurs actuelles (n° 3666) lui avait posé cette question : « si je postule pour être journaliste pour Famille chrétienne, on n’a pas le droit de me demander d’être catholique ? » Réponse : « En France, non. » C’est clair…et inquiétant.

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Fonte du mouvement familial

Publié le par Denis Sureau

Selon les derniers chiffres, l’Union Nationale des Associations Familiales (Unaf) a perdu 9000 adhérents en 2006. Depuis 1994, 166 000 familles ont quitté ses associations membres.

Les Associations Familiales Catholiques ne comptent plus que 28 000 familles adhérentes (soit10 000 de moins qu’il y a dix ans), la Confédération Syndicale des Familles 30 000, et Familles de France 69 000 (contre 108 000 en 2000). Les Associations Familiales Rurales s’en tirent mieux avec leurs 154 000 familles attirées par les services nombreux qu’elles gèrent à la campagne.

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Prière des mères

Publié le par Denis Sureau

Novembre 1995 : une grand-mère anglaise, Veronica Williams, touchée par les problèmes auxquels sont confrontés les enfants, appelle des mères de famille à se réunir pour prier ensemble. C'est ainsi qu'est née la Prière des Mères, aujourd’hui répandue dans plus de 85 pays à travers le monde. Son principe est très simple : deux mères suffisent pour constituer un groupe de prière. Les réunions sont hebdomadaires et discrètes. Les participants peuvent partager leurs peines ou angoisses, avant de les porter dans la prière, en communion avec les autres mères à travers le monde. Un livret traduit en 25 langues sert de support et de lien. La coordonnatrice pour la France (480 groupes recensés) est Caroline de Boisbaudry, une mère de cinq enfants qui a connu le mouvement en Grande-Bretagne lorsqu’elle y résidait.

69 boulevard Lannes, 75116 Paris.   

Tél. : 01 45 04 03 82   

www.prieredesmeres.com

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Dégraisser le mammouth catho?

Publié le par Denis Sureau

L'archevêque d’Avignon n’a décidément pas fini d’agacer ses confrères. « Il faut absolument dégraisser le mammouth de l'enseignement catholique », déclare Mgr Jean-Pierre Cattenoz dans le Monde de l'Education (sept.-oct.). « Victime de son succès, l'enseignement catholique a perdu son caractère propre », ajoute-t-il dans un entretien publié dans Pèlerin (6/9). « Les chefs d'établissement (...) contrôlent de plus en plus difficilement l'embauche des professeurs. Ceux que les académies nous envoient ne sont pas toujours correctement formés aux missions d'enseignement. En outre, nombre de directeurs reconnaissent eux-mêmes n'être pas croyants ou pratiquants », constate-t-il. Résultat : « par esprit de consensus, les projets éducatifs des établissements se limitent en général au plus petit dénominateur commun: la transmission de valeurs comme le partage ou la tolérance ».

Le constat une nouvelle fois dressé, Mgr Cattenoz ne cesse d’affirmer que « le Christ doit être au centre de l'enseignement catholique ». Il propose « de renégocier avec l'Etat une forme de contrat plus souple, afin de laisser aux chefs de ces établissements plus de latitude dans le recrutement du personnel enseignant ». Il suggère aussi que « les diocèses puissent accueillir des établissements où la proposition de foi soit plus poussée ». Peut-être pense-t-il aux écoles entièrement libres qui se ne cessent de se multiplier : une trentaine de nouveaux établissements ont été ouverts à la rentrée, en même temps que l’Institut libre de formation des maîtres, destiné à former des instituteurs pour les 450 écoles hors contrat. L’ampleur du phénomène conduit aujourd’hui certains directeurs diocésains à adopter une attitude plus ouverte vis-à-vis de ces objets scolaires non identifiés.

La vigueur des analyses de Mgr Cattenoz tranche sur le discours habituel des responsables nationaux de l’Enseignement catholique et de la Conférence des évêques de France (qui, selon Mgr Cattenoz, fait « fausse route »). Eric de Labarre, le nouveau secrétaire général de l’Enseignement catholique, explique notamment que « les enseignants sont tenus de partager les objectifs du projet d’établissement, pas des convictions religieuses » ou que « la catéchèse suppose une liberté de choix et ne peut donc être imposée » (La Croix, 29/8). Et encore : « Il serait suicidaire que l’Enseignement catholique cherche à imposer en son sein ce à quoi il croit, car ce faisant, il contredirait un de ses fondements essentiels. » (Famille chrétienne, 8/9)

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Investissez chrétien

Publié le par Denis Sureau

Le deuxième groupe bancaire suisse, le Crédit suisse, a lancé deux fonds d'investissement basé sur les principes religieux, l’un chrétien (Christian Values) et l’autre (Al-Buraq) islamique, conforme à la charia. Premier du genre en Suisse, le fond chrétien investit dans des titres à partir de critères d’exclusion – violation du droit à la vie et des autres droits de l’homme, armes, pornographie, alcool, non-respect de la protection de l’environnement… - et de critères de sélection : préservation de la dignité humaine, respect culturel et religieux, promotion de la famille, responsabilité écologique et sociale, solidarité, conduite morale etc. Philippe Röh, gestionnaire du portefeuille, déclare : « Nous proposons un concept de placement innovant, basé sur des principes d’éthique chrétienne, dont la conformité éthique est contrôlée régulièrement par des instances indépendantes. »

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Intellectuels: la tentation catholique

Publié le par Denis Sureau

DANS LE PREMIER TIERS DU XXe SIECLE, de nombreux intellectuels français s’étaient convertis au catholicisme (voir le livre de Frédéric Gugelot, « La conversion des intellectuels au catholicisme en France, 1885-1935 », Cnrs éditions, 1998). Un tel phénomène est-il susceptible de se reproduire aujourd’hui ? Dans un article publié dans « Valeurs actuelles » (n°3686, 20/7), Laurent Dandrieu remarque : « sans se concerter, sans même se connaître pour la plupart, chacun de leur côté, plusieurs intellectuels, ces dernières années, ont effectué un chemin ou un retour, intime ou tonitruant, véritable conversion ou simple réveil, vers la foi catholique. Plus significatif encore, au lieu de garder cela pour eux, ils ont décidé d’ignorer ce que cette évolution aurait pu leur valoir de railleries, de haussements d’épaules, d’accusations de passéisme et de ringardise, et de revendiquer publiquement leur identité de catholiques. »

QUI SONT-ILS, CES « INTELLOS TENTES PAR LA FOI » ? A l’image de René Girard, considéré dans le monde entier comme le plus grand penseur français vivant, ils se souvent converti à l’issue d’un itinéraire intellectuel les détachant progressivement de la « modernité». Max Gallo, socialiste souverainiste, allie sur un mode assez « péguyste » conversion personnelle et réaffirmation des racines chrétiennes de la France. Très médiatique, l’essayiste Jean-Claude Guillebaud a écrit « Comment je suis redevenu chrétien » (Albin Michel), un livre qui remporte un grand succès. Homme de gauche, éditeur au Seuil, grand reporter, il repousse aujourd’hui un certain nombre d’idoles actuelles sans pour autant professer encore une foi véritable. Ancien maoïste, disciple de Lacan et de Bataille, le philosophe Bernard Sichère publie un livre au titre explicite : « Catholique » (DDB).

CITONS ENCORE LE CORREZIEN DENIS TILLINAC qui, dans « Le Dieu de nos pères » (Bayard), prend vigoureusement la défense du catholicisme. Ou encore le romancier et essayiste François Taillandier. Maurice G. Dantec, punk converti, Léon Bloy post-moderne, dénonciateur déjanté du nihilisme de la vieille Europe, voit en Benoît XVI le « signe divin » du retour d’une « Eglise plus pugnace, beaucoup plus ancrée sur ses traditions scolastiques, patristiques, théologiques ». Disparu en 2006, Philippe Murray, se réclamait du « Dieu du catéchisme de (son) enfance » et vitupérait les errements contemporains. Laurent Dandrieu remarque : « Ce n’est pas une lame de fond, ni même une déferlante, tout de même un courant qui, aussi informel soit-il, intrigue. »

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Communautarisme et théologie politique

Publié le par Denis Sureau

Certains évoquent le spectre du communautarisme catholique comme si les catholiques formaient une communauté parmi d’autres (quoique estimable !) à l’intérieur d’une communauté plus vaste qui serait celle de l’Etat-nation. Une telle vision est sociologique – donc fausse - mais elle n’est pas théologique. Car c’est l’inverse qui est vrai : l’Eglise n’est pas une association particulière parmi d’autres mais une communauté plus vaste, la seule véritablement universelle, « catholique » au sens originel du terme. Accepter le présupposé propre à la modernité libérale selon lequel la « catholica » n’est qu’une partie du tout constitué par la communauté nationale conduit inévitablement à refuser toute prétention de cette partie à imposer ses vues – prétention odieuse et « sectaire ». Contre le projet moderne de privatiser la foi et de marginaliser l’Eglise, nous devons retrouver la dimension publique, sociale, du Salut.

Dans l’Ancien Testament, le Peuple choisi par Dieu qu’est Israël est une communauté politique, et la loi de Dieu régit tous les aspects de la vie humaine. Dans la nouvelle Alliance, le nouveau Peuple de Dieu  se définit comme « Eglise », en référence à l’ekklesia, l’assemblée de ceux qui jouissaient de leurs droits de citoyens dans une polis, un Etat-cité grec. Pas comme une association privée ou une secte. Pas comme la partie d’un tout mais comme un tout, dont la mission s’étend au monde entier et qui comprend au moins en puissance tous les hommes. Cette affirmation a été perçue très vite par l’Empire romain, et Pline a combattu les communautés chrétiennes d’Asie mineure comme autant d’associations politiques subversives. Non, l’Eglise ne défend pas des intérêts particuliers, elle est concernée par les intérêts de la cité entière, de toutes les cités, en tant que témoin de Dieu dans l’histoire. Or Dieu est le seul bien commun à tous les hommes.

Plus tard, la dimension politique de l’Eglise a été davantage visible, d’abord avec les évêques « défenseurs de la cité », puis avec la Chrétienté. Le rôle spécifique des rois était d’assurer un certain ordre au sein même du peuple de Dieu, mission nécessaire quoique temporaire, « temporelle », dans l’attente de la seconde venue du Christ. L’onction royale montrait que même cette responsabilité s’inscrivait à l’intérieur et non à l’extérieur de l’Eglise. Pour comprendre l’articulation entre les fonctions respectives du prince et de l’évêque, les théologiens se référaient aux deux natures (humaine et divine) deux Christ, sans mélange ni séparation. Comme l’a rappelé le théologien américain William Cavanaugh, la différence entre l’autorité temporelle et l’autorité spirituelle était une différence non d’espace mais de temps : est « temporel » ce qui concerne le temps présent, est « spirituel » ce qui concerne l’éternel. Or à partir de la fin du moyen âge, le temporel devient un espace « naturel », « séculier », affirmant toujours davantage son autonomie. C’est alors qu’apparaît l’Etat, contre l’Eglise, progressivement marginalisée, en charge de la « religion » (concept qui prend alors un sens tout nouveau). A l’Etat le pouvoir sur les corps, à l’Eglise le soin des âmes. Renforçant inéluctablement son emprise sur le corps social, il a détruit les formes authentiques de vie sociale ou communautaire : famille, corporations, communes, provinces etc. De la « souveraineté » du monarque devenu absolu, on est passé à la « souveraineté du peuple », elle-même expression de la souveraineté de l’intérêt individuel.

Pour échapper à cette cassure, nous catholiques devons réaliser que l’Eglise est au centre de toute l’histoire humaine. Que c’est à partir du Corps du Christ actif dans la cité des hommes que nous pouvons imaginer une sortie de la sécularisation. Cela implique d’une part que l’Eglise ne cesse de rappeler les exigences de la loi de Dieu aux dirigeants politiques, en puisant dans ses inépuisables ressources. Les évêques ont ici une responsabilité grave. Ils sont dans leur rôle en interdisant (aux Etats-Unis) de communion (mieux encore : en excommuniant) les politiciens pro-avortement, en défiant les gouvernements italiens, portugais et espagnols imposant des lois scélérates, en déclarant immoral le Téléthon, en déclarant injuste la guerre contre l’Irak, etc. Mais cela ne suffit pas.

L’Eglise doit aussi incarner une autre politique, différente de celle du pouvoir athée, et qui transcende les frontières. Quand je parle de l’Eglise, je parle de tous les baptisés, clercs et laïcs, sans négliger pour autant la distinction des vocations. Elle doit se constituer comme un espace social alternatif en multipliant les lieux où l’apprentissage des vertus est possible, où une autorité authentique s’exerce. C’est ce que préconisaient en leur temps les papes Léon XIII et Pie XI en demandant la création d’associations professionnelles (corporations), religieuses et culturelles complètement indépendantes de l’Etat, sous les auspices de l’Eglise. Le principe de subsidiarité a été énoncé à la même époque pour protéger la vie organique des communautés de l’ingérence de l’Etat.

Il faut cependant regretter l’abandon de ce souci par une large part de la hiérarchie ecclésiale. Alors que les évêques devraient encourager la création de corps sociaux alternatifs, ils semblent penser que l’Etat a en puissance la solution à tout problème social. Prenez l’exemple très éclairant de l’enseignement. Vous pouvez envisager de réformer le Mammouth. Bon courage ! Mais en attendant le grand soir hypothétique qui révolutionnera l’Education nationale, il y a des enfants à enseigner ici et maintenant. La création d’écoles entièrement libres est une réponse à un besoin concret. Certaines d’entre elles, par leur vitalité, accueillent désormais des enfants issus de familles dont l’identité est plus large que celles du noyau fondateur, apportant la preuve que nous sommes pas en face d’un « communautarisme catho » replié sur lui-même. Autre exemple. Face au chômage, l’épiscopat français réunit sa commission sociale qui pond une déclaration que personne ne lit. En Italie, les catholiques de Communion et libération, par leurs coopératives et leurs entreprises de toutes sortes, créent des milliers d’emplois. Qui a plus le souci de son prochain ?

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Un regard prophétique sur l'histoire

Publié le par Denis Sureau

Les Editions de L’Homme Nouveau publient « Prophéties de l’Histoire », un livre du cardinal Billot (128 p., 13 euros, commander sur www.hommenouveau.fr).


Haute figure de la théologie thomiste du vingtième siècle naissant, Louis Billot (1846-1931) est inséparable du pontificat de saint Pie X, qui le créa cardinal et en fit l’un de ses plus proches collaborateurs. Ce jésuite profond, qui était aussi un esprit indépendant, a marqué des générations de prêtres jusqu’au milieu du XXe siècle. Ses grands traités, tous écrits en latin, faisaient autorité dans les séminaires. Figure éminente de ce que l’historien Emile Poulat appelle l’intransigeantisme (antilibéral, antisocialiste, antibourgeois, antimoderne), Billot était une intelligence spéculative impressionnante, très au-dessus de la moyenne, nourrie par une foi indéfectible. Même un théologien aussi hostile à son antimodernisme que le père Chenu voyait en lui un « théologien de grande classe », bien que son « intellectualisme » le rendît « fort peu sensible aux voies irrationnelles du mystère de la foi » !

Les textes qu constituent ce livre développent une réflexion sur le sens chrétien de l’histoire qui a peu d’équivalents au XXe siècle. C’est une sorte de nouveau discours sur l’histoire universelle qui évoque le destin des grands empires et des sept âges de l’Eglise figurés dans l’Apocalypse. Du songe mystique de Nabuchodonosor annonçant l’effondrement des empires terrestres à l’avènement du Royaume de Dieu à travers les sept âges de l’Eglise, le cardinal Billot promène son regard visionnaire sur l’aventure humaine. Développant un sens chrétien de l’histoire, le grand théologien se montre aussi un critique intransigeant du libéralisme sous toutes ses formes, pourvoyeur du nihilisme moderne et de la sécularisation.

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